La vitrine observe ma silhouette nue sous un soleil complice...
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La lumière radieuse et chaude du soleil printanier à midi se faufile à travers la vitre de la fenêtre, non pas pour exposer, mais pour dessiner les mouvements de mon corps qui se couplent à la chaleur des rayons du soleil. Dans ses formes intimes, le murmure de ma peau enveloppé dans la caresse chaude des rayons du soleil. La fenêtre est le cadre parfait pour la figure éphémère de la chair et de l’ombre qui convergent dans tous ses mouvements. Un instant d’immobilité vulnérable où le corps devient poésie, et chaque courbe est un vers que la lumière souligne avec révérence. C’est mon humanité pure, sans fioritures, une communion silencieuse entre ma silhouette, le verre et le soleil qui brille dans sa splendeur.